Le devoir de réparation : Différence entre versions
De Salve Regina
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− | <blockquote | + | <blockquote>''Alter alterius onera portate''.<br>''Portez les charges les uns des autres''.<br>Gal., VI. </blockquote> |
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− | ''Portez les charges les uns des autres''. | ||
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<br> Nous parlions récemment du devoir de la reconnaissance, il convient de parler aussi de celui de la réparation. La réparation de l’offense faite à Dieu est généralement appelée en théologie, « satisfaction ». Les fidèles instruits connaissent assez bien d’habitude la doctrine du ''mérite'' ; mais on connaît moins la doctrine de la ''satisfaction ''ou réparation qui ressemble au mérite, mais qui en diffère pourtant. Les fidèles tiennent fermement que Jésus a satisfait pour nous en stricte justice, que la très sainte Vierge a satisfait pour nous d’une satisfaction de convenance ; mais on sait moins la place que la satisfaction doit avoir dans notre propre vie. | <br> Nous parlions récemment du devoir de la reconnaissance, il convient de parler aussi de celui de la réparation. La réparation de l’offense faite à Dieu est généralement appelée en théologie, « satisfaction ». Les fidèles instruits connaissent assez bien d’habitude la doctrine du ''mérite'' ; mais on connaît moins la doctrine de la ''satisfaction ''ou réparation qui ressemble au mérite, mais qui en diffère pourtant. Les fidèles tiennent fermement que Jésus a satisfait pour nous en stricte justice, que la très sainte Vierge a satisfait pour nous d’une satisfaction de convenance ; mais on sait moins la place que la satisfaction doit avoir dans notre propre vie. | ||
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− | == Principes de cette doctrine == | + | == Principes de cette doctrine == |
Les principes de cet enseignement sont exposés en théologie à propos du mystère de la rédemption, puis dans le traité du péché, de la peine qui lui est due, et dans celui de la pénitence. Ces principes sont révélés et tout fidèle y adhère fermement par le foi ; on peut les résumer ainsi. | Les principes de cet enseignement sont exposés en théologie à propos du mystère de la rédemption, puis dans le traité du péché, de la peine qui lui est due, et dans celui de la pénitence. Ces principes sont révélés et tout fidèle y adhère fermement par le foi ; on peut les résumer ainsi. | ||
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− | == Comment le juste peut-il satisfaire pour soi ? == | + | == Comment le juste peut-il satisfaire pour soi ? == |
Il peut le faire de deux manières : d’abord par la pénitence sacramentelle, par l’assistance à la messe, en gagnant des indulgences ; puis par ses propres bonnes œuvres (''ex opere operantis''), lorsqu’elles ont à des degrés divers un caractère pénible, requis pour la satisfaction, qui s’ajoute au mérite. | Il peut le faire de deux manières : d’abord par la pénitence sacramentelle, par l’assistance à la messe, en gagnant des indulgences ; puis par ses propres bonnes œuvres (''ex opere operantis''), lorsqu’elles ont à des degrés divers un caractère pénible, requis pour la satisfaction, qui s’ajoute au mérite. | ||
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Parmi les œuvres pénibles que l’Église recommande comme satisfaction ou réparation, il faut compter ''le jeûne'', ''l’abstinence'', ''les veilles'', ''la patience ''dans les contrariétés et les épreuves, le support des souffrances, l’acceptation de la mort et des angoisses qui peuvent l’accompagner. « ''Posséder son âme dans la patience'' » c’est agir. Saint Thomas dit même que l’acte principal de la force n’est pas l’offensive ou l’attaque, mais le support persévérant des choses pénibles la constance dans l’épreuve, comme on le constate chez les martyrs. | Parmi les œuvres pénibles que l’Église recommande comme satisfaction ou réparation, il faut compter ''le jeûne'', ''l’abstinence'', ''les veilles'', ''la patience ''dans les contrariétés et les épreuves, le support des souffrances, l’acceptation de la mort et des angoisses qui peuvent l’accompagner. « ''Posséder son âme dans la patience'' » c’est agir. Saint Thomas dit même que l’acte principal de la force n’est pas l’offensive ou l’attaque, mais le support persévérant des choses pénibles la constance dans l’épreuve, comme on le constate chez les martyrs. | ||
− | Les croix cachées portées longtemps en silence sont souvent plus méritoires et satisfactoires que de brillantes actions héroïques d’un moment. A ce propos, il convient de conseiller la belle prière, de Pie X pour accepter d’avance la mort et toutes les souffrances physiques et morale qui la précéderont et l’accompagneront<ref name="ftn3">«&nbsp;Seigneur, mon Dieu, quel que soit le genre de mort qu’il vous plaise de me réserver, dès maintenant, de tout cœur et de plein gré, je l’accepte de votre main, avec toutes ses angoisses, ses peines et ses douleurs&nbsp;». Indulgence plénière à la mort pour ceux qui récitent cette prière après la sainte communion.</ref>. | + | Les croix cachées portées longtemps en silence sont souvent plus méritoires et satisfactoires que de brillantes actions héroïques d’un moment. A ce propos, il convient de conseiller la belle prière, de Pie X pour accepter d’avance la mort et toutes les souffrances physiques et morale qui la précéderont et l’accompagneront<ref name="ftn3">«&amp;nbsp;Seigneur, mon Dieu, quel que soit le genre de mort qu’il vous plaise de me réserver, dès maintenant, de tout cœur et de plein gré, je l’accepte de votre main, avec toutes ses angoisses, ses peines et ses douleurs&amp;nbsp;». Indulgence plénière à la mort pour ceux qui récitent cette prière après la sainte communion.</ref>. |
Les bonnes œuvres plus ou moins pénibles diminuent notre purgatoire, et, par le mérite qu’elles comportent, elles augmentent en nous la vie de la grâce et le bonheur du ciel. Il faut à ce sujet rappeler, qu’un acte très généreux de charité, d’une valeur de dix talents vaut plus que dix actes faibles d’un talent ; ces derniers, sont en effet plus ou moins mêlés de tiédeur ; la qualité l’emporte, ici sur la quantité. Le saint curé d’Ars devait mériter et réparer plus que tous ses paroissiens ensemble. | Les bonnes œuvres plus ou moins pénibles diminuent notre purgatoire, et, par le mérite qu’elles comportent, elles augmentent en nous la vie de la grâce et le bonheur du ciel. Il faut à ce sujet rappeler, qu’un acte très généreux de charité, d’une valeur de dix talents vaut plus que dix actes faibles d’un talent ; ces derniers, sont en effet plus ou moins mêlés de tiédeur ; la qualité l’emporte, ici sur la quantité. Le saint curé d’Ars devait mériter et réparer plus que tous ses paroissiens ensemble. | ||
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− | == Comment le juste peut-il satisfaire pour le prochain ? == | + | == Comment le juste peut-il satisfaire pour le prochain ? == |
Tous les fidèles connaissent cette doctrine de foi que le juste peut faire célébrer des messes et gagner des indulgences pour les défunts, et qu’il peut aussi solder pour un autre juste la peine temporelle due aux péchés déjà remis. Saint Paul dit en effet : « ''Portez les charges les uns des autres'' »<ref name="ftn4">''Gal''., VI, 2.</ref>. Saint Thomas l’explique<ref name="ftn5">''Supp''., Q. 13, a. 2.</ref> et il note que si les créanciers humains admettent qu’on leur paye les dettes des autres, combien plus le Seigneur l’admet-il ; d’autant que ''souffrir pour autrui ''suppose une plus grande charité que souffrir pour soi. Souffrir pour autrui un fort mal de tête de trois ou quatre heures est plus satisfactoire que souffrir pour soi une chose plus pénible. | Tous les fidèles connaissent cette doctrine de foi que le juste peut faire célébrer des messes et gagner des indulgences pour les défunts, et qu’il peut aussi solder pour un autre juste la peine temporelle due aux péchés déjà remis. Saint Paul dit en effet : « ''Portez les charges les uns des autres'' »<ref name="ftn4">''Gal''., VI, 2.</ref>. Saint Thomas l’explique<ref name="ftn5">''Supp''., Q. 13, a. 2.</ref> et il note que si les créanciers humains admettent qu’on leur paye les dettes des autres, combien plus le Seigneur l’admet-il ; d’autant que ''souffrir pour autrui ''suppose une plus grande charité que souffrir pour soi. Souffrir pour autrui un fort mal de tête de trois ou quatre heures est plus satisfactoire que souffrir pour soi une chose plus pénible. | ||
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Si nous n’avons pas fait cet acte et si nous ne désignons aucune personne, il est probable que Dieu applique ces satisfactions à ceux qui nous sont le plus cher. | Si nous n’avons pas fait cet acte et si nous ne désignons aucune personne, il est probable que Dieu applique ces satisfactions à ceux qui nous sont le plus cher. | ||
− | C’est ainsi que les justes peuvent souffrir avec fruit pour le prochain, et aussi ils participent eux-mêmes aux satisfactions des âmes les plus généreuses, des âmes victimes qui, aux heures les plus tragiques, se multiplient dans le monde, pour en réparer les fautes<ref name="ftn6">Qu’on se rappelle dans&nbsp;l’Annonce à&nbsp;Marie de P. Claudel le personnage de Violaine, jeune vierge atteinte de la lèpre, qui s’est offerte en victime pour la France à l’époque du grand schisme.</ref>. C’est le Seigneur qui les suscite, qui leur donne cette vocation sublime, qui les soutient pendant vingt et trente ans sur un lit de souffrances, comme le montre la vie du saint abbé Gérard, du diocèse, de Sées, écrite par Myriam de G. sous le titre « ''Vingt-deux ans de martyre'' » ; ce saint abbé torturé pendant tant d’années par la tuberculose des os, offrait chaque jour ses souffrances pour les prêtres de sa génération et de son diocèse. On le porta six fois à Lourdes ; il comprit que la sainte Vierge ne le guérirait pas, mais malgré les très grandes douleurs du voyage, il voulut y aller encore six fois, non plus pour demander sa guérison, mais pour la conversion des pécheurs. Des âmes victimes plus nombreuses que nous ne pensons, travaillent en ce moment à l’exemple de Notre-Seigneur et de Marie à la pacification du monde. | + | C’est ainsi que les justes peuvent souffrir avec fruit pour le prochain, et aussi ils participent eux-mêmes aux satisfactions des âmes les plus généreuses, des âmes victimes qui, aux heures les plus tragiques, se multiplient dans le monde, pour en réparer les fautes<ref name="ftn6">Qu’on se rappelle dans&amp;nbsp;l’Annonce à&amp;nbsp;Marie de P. Claudel le personnage de Violaine, jeune vierge atteinte de la lèpre, qui s’est offerte en victime pour la France à l’époque du grand schisme.</ref>. C’est le Seigneur qui les suscite, qui leur donne cette vocation sublime, qui les soutient pendant vingt et trente ans sur un lit de souffrances, comme le montre la vie du saint abbé Gérard, du diocèse, de Sées, écrite par Myriam de G. sous le titre « ''Vingt-deux ans de martyre'' » ; ce saint abbé torturé pendant tant d’années par la tuberculose des os, offrait chaque jour ses souffrances pour les prêtres de sa génération et de son diocèse. On le porta six fois à Lourdes ; il comprit que la sainte Vierge ne le guérirait pas, mais malgré les très grandes douleurs du voyage, il voulut y aller encore six fois, non plus pour demander sa guérison, mais pour la conversion des pécheurs. Des âmes victimes plus nombreuses que nous ne pensons, travaillent en ce moment à l’exemple de Notre-Seigneur et de Marie à la pacification du monde. |
Les souffrances du juste doivent ainsi ressembler de plus en plus à la croix de Jésus. Il y a trois sortes de croix bien différentes : celle du mauvais larron, fut une croix perdue ; et il y a beaucoup de souffrances perdues dans le monde, parce qu’elles ne sont pas chrétiennement supportées ; la croix du bon larron fut utile pour lui, et il entendit : « ''Tu seras avec moi ce soir en paradis'' » ; la croix de Jésus fut rédemptrice, non pas pour lui, mais pour nous. Et plus les saints se rapprochent du Sauveur, plus leur croix ressemblent à la sienne, plus elles sont fécondes, et aux heures les plus troublées comme celle que nous traversons, c’est eux, par leurs souffrances acceptés par amour, qui portent le monde et lui permettent de durer. | Les souffrances du juste doivent ainsi ressembler de plus en plus à la croix de Jésus. Il y a trois sortes de croix bien différentes : celle du mauvais larron, fut une croix perdue ; et il y a beaucoup de souffrances perdues dans le monde, parce qu’elles ne sont pas chrétiennement supportées ; la croix du bon larron fut utile pour lui, et il entendit : « ''Tu seras avec moi ce soir en paradis'' » ; la croix de Jésus fut rédemptrice, non pas pour lui, mais pour nous. Et plus les saints se rapprochent du Sauveur, plus leur croix ressemblent à la sienne, plus elles sont fécondes, et aux heures les plus troublées comme celle que nous traversons, c’est eux, par leurs souffrances acceptés par amour, qui portent le monde et lui permettent de durer. | ||
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Au XVIIIème siècle saint Paul de la Croix fonde l’Ordre des passionistes voué à la réparation, et lui-même, quoique arrivé déjà à l’âge de trente ans à une très intime union avec Dieu, passe pendant quarante-cinq ans par des souffrances intérieures ininterrompues pour la conversion des pécheurs. A la même époque saint Gérard Maggela fils spirituel de saint Alphonse est averti par une inspiration qu’il aura l’occasion de devenir un saint, et qu’il doit être attentif à ne pas la manquer ; peu après il est gravement calomnié, ce qui entraîne une mesure très sévère pour lui : on le prive de la communion ; il accepte tout par amour de Dieu. Quelques mois après, la calomnie est découverte, son supérieur lui dit : « Pourquoi ne vous êtes-vous pas défendu ? » Il répond : « Il y a, mon Père, dans votre Règle, qu’il ne faut s’excuser même si l’on est injustement repris ». A la même époque encore, saint Benoît-Joseph Labre est un modèle achevé de vie réparatrice. | Au XVIIIème siècle saint Paul de la Croix fonde l’Ordre des passionistes voué à la réparation, et lui-même, quoique arrivé déjà à l’âge de trente ans à une très intime union avec Dieu, passe pendant quarante-cinq ans par des souffrances intérieures ininterrompues pour la conversion des pécheurs. A la même époque saint Gérard Maggela fils spirituel de saint Alphonse est averti par une inspiration qu’il aura l’occasion de devenir un saint, et qu’il doit être attentif à ne pas la manquer ; peu après il est gravement calomnié, ce qui entraîne une mesure très sévère pour lui : on le prive de la communion ; il accepte tout par amour de Dieu. Quelques mois après, la calomnie est découverte, son supérieur lui dit : « Pourquoi ne vous êtes-vous pas défendu ? » Il répond : « Il y a, mon Père, dans votre Règle, qu’il ne faut s’excuser même si l’on est injustement repris ». A la même époque encore, saint Benoît-Joseph Labre est un modèle achevé de vie réparatrice. | ||
− | Quelquefois ce sont même des enfants, qui sous une inspiration divine, entrevoient tout le prix de la souffrance acceptée par amour. Ces dernières années à Rome sous Pie XI une enfant de six ans et demi, Antonietta Meo dont on a écrit la vie<ref name="ftn7">«&nbsp;''Fiaccola romana''&nbsp;» par Myriam de G., chez Berutti, Torino&nbsp;; préface du cardinal Piazza.</ref>, malade d’un cancer à la jambe, accepte très généreusement l’amputation pour les grandes intentions de l’Église, et dit à son père, après l’opération, alors qu’elle souffre encore beaucoup : « Papa, la douleur est comme l’étoffe ; plus l’étoffe est résistante, meilleure elle est ; de même plus la douleur est forte, meilleure elle est lorsqu’on l’accepte par amour pour la conversion des pécheurs. » | + | Quelquefois ce sont même des enfants, qui sous une inspiration divine, entrevoient tout le prix de la souffrance acceptée par amour. Ces dernières années à Rome sous Pie XI une enfant de six ans et demi, Antonietta Meo dont on a écrit la vie<ref name="ftn7">«&amp;nbsp;''Fiaccola romana''&amp;nbsp;» par Myriam de G., chez Berutti, Torino&amp;nbsp;; préface du cardinal Piazza.</ref>, malade d’un cancer à la jambe, accepte très généreusement l’amputation pour les grandes intentions de l’Église, et dit à son père, après l’opération, alors qu’elle souffre encore beaucoup : « Papa, la douleur est comme l’étoffe ; plus l’étoffe est résistante, meilleure elle est ; de même plus la douleur est forte, meilleure elle est lorsqu’on l’accepte par amour pour la conversion des pécheurs. » |
− | Ces très grands exemples nous sont donnés de temps en temps pour nous tirer de notre somnolence, et pour nous inviter à offrir plus généreusement les contrariétés ou peines qui se présentent, pour réparer l’offense faite à Dieu par nos propres fautes, et pour travailler à la conversion des âmes dans la mesure où le Seigneur de toute éternité l’a voulu pour chacun de nous<ref name="ftn8">Au terme de leur pèlerinage a Notre-Dame du Puy les routiers de France disaient dans leur chemin de croix&nbsp;: «&nbsp;Seigneur, pour nos péchés, nous acceptons la faim, le froid, la pauvreté&nbsp;».</ref>. | + | Ces très grands exemples nous sont donnés de temps en temps pour nous tirer de notre somnolence, et pour nous inviter à offrir plus généreusement les contrariétés ou peines qui se présentent, pour réparer l’offense faite à Dieu par nos propres fautes, et pour travailler à la conversion des âmes dans la mesure où le Seigneur de toute éternité l’a voulu pour chacun de nous<ref name="ftn8">Au terme de leur pèlerinage a Notre-Dame du Puy les routiers de France disaient dans leur chemin de croix&amp;nbsp;: «&amp;nbsp;Seigneur, pour nos péchés, nous acceptons la faim, le froid, la pauvreté&amp;nbsp;».</ref>. |
<br> Fr. Réginald Garrigou-Lagrange, O. P. | <br> Fr. Réginald Garrigou-Lagrange, O. P. | ||
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− | == Notes et références == | + | == Notes et références == |
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Version du 31 mars 2011 à 10:16
La confession | |
Auteur : | le P. Reg. Garrigou-Lagrange, O. P. |
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Source : | La Vie Spirituelle n° 277 |
Date de publication originale : | juin 1943 |
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Difficulté de lecture : | ♦♦ Moyen |