Les miracles de Notre-Dame de Guadalupe

De Salve Regina

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Apologétique
Auteur : Abbé Jacques Olivier
Date de publication originale : 2005-2007

Difficulté de lecture : ♦♦ Moyen
Remarque particulière : Avec l'aimable autorisation de l'Institut Catholique Argentin pour l'investigation des Miracles. Le fait de 2007, relaté juste après les faits, demande à être confirmé par l'autorité ecclésiastique et par des études scientifiques.

Miracles relatifs au manteau de Notre Dame de Guadalupe

Le premier miracle du manteau de la Vierge Marie a été réalisé par la Mère de Dieu le 12 décembre 1531. La Vierge Marie avait demandé à saint Juan Diego d'aller au sommet du Mont Tepeyac pour y cueillir les fleurs qui s'y trouvaient, afin de les apporter à l'évêque de Mexico qui avait demandé au Ciel un signe pour s'assurer de la véracité de la demande de Marie par l'intermédiaire de son humble messager. La Sainte Vierge demandait en effet que l'on construise une chapelle en son honneur au sommet du mont.


Ainsi, quand Juan Diego se présenta à l'évêque Zumárraga, il ouvrit son poncho et laissa tomber les fleurs qui étaient des roses de Castille. Mais ce qui étonna davantage les témoins fut de les voir disparaître au moment même où ceux-ci les pre­naient des mains de Juan Diego.


En déposant son poncho devant l'évêque, on aperçut dessiné l'image de la Très Sainte et tou­jours Vierge la Mère du vrai Dieu, image qui se conserve toujours aujourd'hui. Le 26 décembre 1531, il y eut une procession au Mont Tepeyac où se réunirent de nombreux indiens chichimèques ; ceux-ci jouaient avec leurs arc et leurs flèches et dansaient selon leurs coutumes. Malheureusement une flèche tirée au hasard transperça la gorge d'un indien qui accompagnait le "Manteau". Il mou­rut à l'instant. C'est devant l'image que l'on retira la flèche et aussitôt on vit se former une cicatri­ce et l'indien ressuscita. A partir de ce moment là, les indiens se convertirent au catholicisme au nombre de 9 millions.


En 1751, Michel Cabrera analysa avec Joseph Ibarra le poncho et ils constatèrent que l'image n'a­vait aucune marque de pinceau.


En 1791, de l'acide muriatique tombé sur le côté droit supérieur avec une proportion de 50 % d'a­cide nitrique et 50 % d'acide chlorhydrique, faisant un trou de 10 cm de diamètre. Trente jours après le tissu était reformé sans que personne n'intervint pour réparer l'accident. Aujourd'hui encore, il reste une marque de la tache et seulement au moyen d'un instrument de précision on peut observer des traces de brûlure.


Au XVIIIe siècle, on fit une copie très semblable de l'original avec le même tissu de maguey (fibres végétales de cactus) : malgré tout, la copie était réduite en poussière quelques quinze années après, tandis que l'original possède déjà près de 500 ans, ce qui est un phénomène inexplicable. Le manteau mesure 1.71 de haut sur 1.05 de large.


Le 14 novembre 1921, le tailleur de pierre Lucien Perez, un anarchiste, dépose un bouquet de fleurs au pied du manteau de Juan Diego, dans lequel il avait mis une charge de dynamite qui détrui­sit tout alentour, mais laissa intacte le poncho ainsi que la vitre qui le protégeait.


En 1929, le photographe Alfonso Marcué Gonzalez découvrit une figure humaine dans l'œil droit de la Vierge. En 1936, l'évêque de Mexico fit analyser trois fibres du manteau (ce qui donnera plus tard le prix Nobel de chimie pour l'année 1938 et 1949). Le Dr. Richard Khun d'origine juive découvrit que la peinture de l'image n'avait aucune origine végétale, minérale ni même animale, ni aucun élément des 111 pigments connus dans le monde. Khun en déduit que la peinture n'est pas d'origine humaine.


En 1956, l'ophtalmologue Torruela Bueno découvre qu'en approchant l'œil pour réaliser un fond d'œil, la pupille se ferme et en en retirant la lumière, la pupille se dilate de nouveau comme s'il s'a­gissait d'un œil humain. En juillet 1956, le Dr. Lavoignet après huit mois d'intense travail découv­re le phénomène optique de la triple image de Purkinge-Samson qui correspond à ce que perçoit l'œil humain, c'est-à-dire les trois réfractions de l'objet vu.


En février 1979, le Dr. José Aste Tonsmann, chef du Centre Scientifique d'IBM à Mexico, décou­vre à son tour, grâce à de puissants ordinateurs des phénomènes inexplicables : dans les pupilles des yeux de la Vierge Marie, qui ont un diamètre de 8 mm., sous forme digitalisée, on peut voir douze personnages qui regardent l'image de la Vierge de Guadalupe. Mais là ne s'arrête pas le côte mer­veilleux de la surprise. En effet, en agrandissant la pupille de l'un des personnages de la scène, c'est-­à-dire de l'évêque Juan de Zumárraga, donc un agrandissement de quelques milliers de fois de ceux de la Vierge, soit 2500 fois plus, on aperçoit alors l'indien Saint Juan Diego montrant le poncho avec l'image de la Vierge de Guadalupe. Ainsi, en un quart de micron qui est la π partie de millionième de millimètre, le Professeur Aste Tonsmann put voir une scène extraordinaire, découverte qui lui ôta le sommeil pendant plusieurs nuits.


Le 7 mai 1979, les scientifiques Jody Brand Smith, professeur d'esthétique et de philosophie et Philipp Serna Callahan, biophysicien de l'Université de Floride et spécialiste en peinture et memb­res tous deux de la NASA, n'ont pas rencontré de peinture dans l'original du poncho. Ils prouvent que ce n'est pas une photographie qui aurait imprimé le tissu.


Ils découvrirent également que le poncho conserve sans aucune explication la température du corps humain oscillant autour de 36,6°-37°.


Puis le 22 décembre 1981, le RP Mario Rojas, découvre à son tour à l'Observatoire "Laplace" de Mexico que les étoiles du manteau correspondent au solstice d'hiver du 12 décembre 1531 à 10 : 26 sur le territoire de Mexico, c'est-à-dire à l'heure où saint Juan Diego déploya son poncho devant l'é­vêque. Les astronomes ont certifié le fait.


Deux anges furent peints par la suite à côte de la Vierge en dehors des rayons mais trente jours après ils disparurent et aujourd'hui, grâce à des outils très spécialisés et sophistiqués, on peut en trouver la trace. On aperçoit également les traces d'une couronne peinte sur le chef de la Vierge. Ces différentes peintures dateraient du XVIIIe siècle.


Une peinture a été appliquée sur l'ange de la partie inférieure, sur l'or des rayons et l'argent du cordon et sur le serpent au-dessous des pieds de la Vierge. Cette peinture est en train de disparaître pour restituer les couleurs originales gravées le 12 décembre 1531.


Si l'on approche à moins de 10 cm. de la toile on ne voit que les fibres du manteau sans aucune couleur. Les scientifiques de la NASA découvrirent en outre qu'en passant un rayon laser sur la toile mais de façon latérale le rayon passe sans toucher la peinture ni la toile de telle sorte que l'image est suspendue en l'air à trois dixième de millimètres au-dessus du tissu.


Enfin, le gynécologue, en posant son stéthoscope sur la ceinture de la Sainte Vierge Marie qui est enceinte, entendit le bruit des battements du cœur et constata qu'ils s'élevaient à 115-120 pulsations à la minute ce qui correspond aux battements cardiaques du cœur de l'Enfant Jésus, tout comme ceux d'un foetus dans le sein de sa mère.


Le 24 avril 2007, à la fin de la messe offerte pour les enfants avortés non nés, l’assistance de la Basilique se demandait ce qu’attendait d’elle la Très Sainte Vierge de Guadalupe : le conseil municipal de Mexico venait de légaliser l’avortement à la demande jusque là interdit. Tandis que beaucoup de fidèles prenaient des photographies de l’ayate de Tepeyac, exposé et vénéré dans le Basilique et au pied duquel la foule des pèlerins défile sur un tapis roulant, l’image de la Vierge a commencé à s’effacer, pour donner place à une lumière intense qui émanait de son ventre, constituant un halo brillant ayant la forme d’un embryon. Avec un cadrage et un grossissement important il est possible d’apprécier la position de la lumière qui provient réellement du ventre de l’image de la Sainte Vierge et n’est ni un reflet, ni un artéfact. L’ingénieur Luis Girault qui a étudié l’image ainsi réalisée a confirmé l’authenticité du négatif et a pu préciser qu’il n’avait été ni modifié ni altéré, par superposition d’un autre image par exemple. Il a découvert que l’image ne provient d’aucun reflet, mais sort littéralement de l’intérieur de l’image de la Vierge. La lumière produite est très blanche, pure et intense, différente des lueurs photographiques habituelles produites par les flashes. Cette lumière est entourée d’un halo et paraît flotter à l’intérieur de l’abdomen de la Vierge. Ce halo possède la forme et les mesures d’un embryon. En effet si on examine plus précisément encore cette image en la faisant tourner dans un plan sagittal, on distingue à l’intérieur du halo certaines zones d’ombre qui ont les caractéristiques d’un embryon humain dans le sein maternel.

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